La Préhistoire dans le Bocage ornais et ses abords.

Par Dominique Cliquet, Antoine Chancerel, Emmanuel Ghesquière,

270 pages, 25 Euros

Une publication attendue A Rânes, près d’Ecouché, se trouve aujourd’hui le seul musée de Normandie sur la Préhistoire. Saint-Brice-sous-Rânes et Rânes sont les seuls ateliers de bifaces paléolithiques conservés dans le nord-ouest de la France.

Une aventure culturelle dans le temps et l’espace

Après la période glaciaire,  au Mésolithique, la faune et la flore se renouvellent,  l’Homme moderne s’accroît,  développe ses techniques. A Argentan, les  fouilles récentes en témoignent. Au Néolithique,  les sites gagnent le Bocage, marche vers l’ouest.  La Table au Diable à Passais est un des mégalithes les plus remarquables de l’Orne.

Des sites de premier ordre.  Ainsi, Sarceaux, unique en France,  Moulins-sur-Orne et son  enceinte sans équivalent.

Des auteurs. Reconnus en Normandie, en France et au-delà,  ils réactualisent les connaissances

Une référence pour le Bocage, pour l’Orne et pour la Normandie,

L’incroyable Eugène Lelouvier (1873-1937), par Bernard Desgrippes (2016)

Eugène Lelouvier, un aventurier Normand

Eugène Lelouvier - Le Pays Bas-Normand
Un aventurier normand disciple des héros de Jules Verne.

Domfrontais, Eugène Lelouvier nous entraîne dès son plus jeune âge, dans une impressionnante série d’aventures toutes plus extraordinaires. Sur le brick Emma, à 17 ans, lors d’un naufrage dans la mer des Antilles, il remplace le capitaine inexpérimenté et sauve l’équipage et le bateau.

Sur les pas de Michel Strogoff, il se rend à pied (14 000 km) de Paris à Kharbine (Mandchourie). Le Normand est le premier français à traverser le désert de Gobi.

En 1907, Eugène Lelouvier invente la course automobile Pékin-Paris. L’année suivante, il crée le Tour du monde en automobile, la course la plus folle de tous les temps !

Lelouvier sait tout faire : légionnaire, conférencier, journaliste, pilote, mécanicien, géographe, marin, artiste peintre, chanteur, musicien.

Dans la préface de L’incroyable Eugène Lelouvier (1873-1937), Jean Verne, arrière-petit-fils de Jules Verne, écrit « Voilà un parcours de vie étonnant et passionnant à lire ! Bernard Desgrippes nous livre un travail de recherche sur un homme que la postérité – voire ses contemporains – a totalement oublié alors qu’il pourrait figurer au premier rang de ces aventuriers de l’extrême. La vie telle quelle d’Eugène Lelouvier pendant une trentaine  d’années est foisonnante et à la limite du possible. On est tour à tour fasciné par la vigueur exceptionnelle de cet homme qui enchaîne les rêves et les gageures sans jamais faiblir. On n’oublie pas Eugène Lelouvier après avoir lu le livre de Bernard Desgrippes, cela est certain. »

 

Prix : 19 euros + 2 Euros pour frais de port

Commander L’incroyable Eugène Lelouvier (1873-1937)

Le Soldat de l’Orne, par Yann Rondeau et Jean-Christophe Ruppé (2016)

Prix 25 Euros + 2 Euros pour frais de port

Le soldat de l'OrneA l’heure où la Première Guerre mondiale réinvestit l’espace public avec une force insoupçonnée, le Pays Bas-normand a souhaité mener une étude en trois temps et en trois lieux, dont le parcours militaire de Georges Langlais se veut une illustration de l’unité. Profitant d’un accès large aux sources jusque là confidentielles, Yann Rondeau et Jean-Christophe Ruppé proposent une trilogie d’articles sur :

  • le champ de la statistique : à travers l’exemple des « morts pour la France » du canton bocain de Flers, se dessine une esquisse des versants les plus violents de la guerre, mais aussi de son impact sur la démographie et l’économie d’un territoire modeste, prisonnier ou relais d’un jeu d’échelles allant de la plus modeste localité aux aspects les plus mondiaux du conflit.
  • le champ de la bataille : les combats autour d’Ethe le 22 août 1914 brossent le portrait de ce que fut une unité mi-provinciale mi-parisienne, le 104e RI, dont la confrontation inattendue avec l’armée allemande a fait entrer l’Orne dans le XXe siècle et marquer considérablement sa mémoire collective. Et le dénominateur commun d’une histoire-bataille, d’une histoire sociale, d’une histoire des mentalités.
  • le champ de la commémoration communale : après la guerre, honneur aux victimes. Dans les années 1920, le pays et les villages souhaitent honorer les disparus, le Parlement légifère, les communautés locales unissent leurs économies, les sculpteurs érigent des monuments, pour les vivants ou pour les morts ?